| | LE COURRIER DES CENTRAUX
PARISIENS |
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NOUVELLE RÉORGANISATION ITIM
LE PROJET QUI CACHE LA FORÊT |
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Nous ne nous y trompons pas : ce nouveau projet d’évolution d’ITIM - la SU de BDDF, présenté le 16 octobre par la direction, n’est qu’une vision tronquée et partielle d’un plan beaucoup plus vaste
: le détail et les étapes de mise en œuvre ne seront présentés qu’à la fin du mois de novembre.
Ce projet constitue clairement l’une des prémisses au projet de création de la future banque qui devrait résulter de la fusion de la SG et du CDN. |
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UN PROJET QUI NE DIT PAS SON NOM :
LA RÉDUCTION DES FRAIS GÉNÉRAUX | |
L’orientation des choix va clairement dans le sens de la réduction des frais généraux, dont les limites peuvent être rapidement atteintes. La création d’une entité unique (CSR- Le futur Centre de Solutions Retail) et les gains escomptés sur les frais généraux éviteront-ils : |
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 | La perte de diversité dans les offres ? |
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La rigidité dans les process bancaires ? |
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 | La chute du PNB de la banque de détail des deux enseignes confondues ? | |
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Quelle va être la capacité d’ITIM à traiter en parallèle cette réorganisation ainsi que le projet d’évolution de l’organisation de la Filière IT (projet DNA), sur lequel nous avions donné un avis favorable ?
Ce projet risque de nous conduire inexorablement, à moyen terme, à des suppressions de postes du fait des doublons et à une externalisation plus large des tâches à moindre valeur ajoutée ? |
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L’OBJECTIF DE DÉLIVRER UN SI UNIFIÉ À FIN 2022
EST SEMÉ D’EMBUCHES |
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Ce projet, s’il est mis en œuvre, aura inexorablement des répercussions sur votre travail : |
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 | Charge de travail amplifiée
à court terme |
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Parallélisation extrême
des tâches |
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Enchaînement des migrations
au pas de charge |
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 | Rejet de prise en compte des petites spécificités incontournables |
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Aurons-nous à traiter ce grand projet en interne en faisant de nouveau appel à des cabinets d’experts ? Rappelons-nous leur incapacité à nous accompagner
lors de l’expérience vécue sur CONVERGENCE (précédente tentative des SI BDDF et CDN).
Si ce projet échoue, quelles seront les capacités d’ITIM pour revenir en
arrière ? |
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 | RÉORGANISATION D’ITIM : LA 1ÈRE PIERRE À LA FUSION SG/CDN | |
L’intérêt de rapprocher deux entités spécialisées dans l’informatique de chaque enseigne et de créer une structure dédiée aux Grands Projets est de nous préparer aux travaux d’absorption du CDN dans le SI de la SG. | | Nous avons 3 raisons de le condamner : |
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Ce projet risque d’entraîner inéluctablement une cascade de réorganisations au sein de tous les Services Centraux. |
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 | Ces réorganisations successives ne pourront que brouiller la perception globale du projet et nous conduire à perdre de vue les objectifs |
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 | Cette division des sujets nous éloigne de l’essentiel et souligne l’ambiguïté de la démarche. |
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Si le projet présenté semble se limiter à une « simple » réorganisation au sein d’ITIM, il n’est que la première étape d’un projet plus ambitieux qui va impacter profondément l’ensemble des Services Centraux de la SG, mais également de ceux du Crédit du Nord. | Il n’a donc réellement de sens que pris dans le contexte plus large de la fusion SG/CDN. |
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DÉCOUVREZ LE PROJET DANS SON DÉTAIL ET FAITES-NOUS VOS RETOURS | |
La direction a fait le choix de consulter le CSE Central, c’est-à-dire le niveau national avant de consulter le CSE des Centraux, alors que nous sommes directement concernés par cette réorganisation.
La direction cherche à noyer le poisson, mais nous ne resterons pas sans agir
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Consulter le dossier de réorganisation |
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Pour préparer au mieux la réunion du CSEC du 5 novembre face à la direction : | |
Transmettez-nous vos questions et vos avis. N’hésitez pas à nous faire part de vos doutes ou au contraire de votre enthousiasme ! Nous ferons tout remonter.
Le projet plus général fera l’objet d’une nouvelle réunion du CSEC le 30 NOVEMBRE. Les études en cours sont donc déterminantes pour l’avenir de la SG et du CDN. |
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Vos élus CFDT ont demandé lors du CSEE des Centraux d’octobre que l’impact du projet de fusion sur les SU en charge de l’informatique (soit, globalement, ITIM, RESG et GBSU) fasse l’objet d’une commission économique spécifique. Gardons l’espoir d’être écoutés par la direction. |
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