Tickets Restaurant : Pas d'indemnisation sur les journées de télétravail flexible car ces journées sont à la main du salarié à raison de 11 jours par an et pas plus de 1 par mois. |
La CFDT réaffirme l'obligation légale de l'employeur d'indemniser les frais de repas quelque soit le mode de travail. C'est discriminatoire ! |
Autres frais liés au télétravail : Pas de prise en charge d'autres types de frais tels que l'électricité et le chauffage ou encore la connexion internet. |
Au regard des dispositions URSSAF, la CFDT demande une indemnisation mensuelle. Par exemple : Pour 2 jours par semaine de télétravail, l'employeur verse 20€ d'indemnités mensuelles. Pour la CFDT cette demande est raisonnable et permet à peine de compenser les frais supplémentaires engagés.
La CFDT a également fait remarquer que les économies immobilières, essentiellement faites dans les immeubles des centraux, doivent bénéficier à l'ensemble des télétravailleurs du groupe. |
Expérimentations BDDF : Afin de limiter les risques et de développer la culture du télétravail dans le Réseau mais aussi de part les contraintes techniques (Laptop et téléphonie), la mise en place sera progressive. Certains salariés ne pourront donc bénéficier du télétravail que fin 2022. Le retour des expérimentations déterminera le nombre de jours télétravaillables. Ce nombre de jours sera inférieur aux 2 jours de référence indiqués dans l'accord pour certains métiers du Réseau. |
Pour la CFDT, le calendrier est difficilement compréhensible. En particulier sur les DCR, les back-offices, les salariés ne vont pas comprendre les mois qui vont s'écouler entre la fin de l'épidémie et le télétravail régulier. |
Utilisation du télétravail lors des projets de transformation de Société Générale : le télétravail peut être utilisé comme une modalité d'accompagnement du changement. Il peut même être envisagé comme une modalité durable d'accompagnement des transformations |
La CFDT s'inquiète des dispositions de cet article dans un tel cadre. Le télétravail ne peut être imposé aux salariés car il entrainerait des RPS graves ainsi qu'un réel sentiment de mis à l'écart du collectif.
Pour la CFDT, le recours à ce type de télétravail peut être une solution temporaire à condition que le salarié soit volontaire et que la période soit limitée dans le temps.
La CFDT ne peut s'empêcher de faire le lien avec le dossier actuel de fusion SG/CDN. Le télétravail ne doit pas être un outil de facilitation des opérations de restructurations.
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