Une communication a été envoyée à chaque salarié sur les changements que cela engendre pour les salariés.
La fin du travail à distance obligatoire, pour toutes les entreprises qui pouvaient télétravailler, ouvre la porte au télétravail régulier.
L'accord Société Générale va pouvoir s'apliquer à partir du 4 octobre pour les entités qui y sont prêtes.
8 - pas d'indemnité kilomètrique
9 - pas d'activité partielle pour garde d'enfants pendant les vacances scolaires
12 - accuei des visiteurs
18 - reprise d'activité pour un cas de covid avéré
19 - salarié de retour de l'étranger
22 - approvisionnement en masque, gel et produit de nettoyage du poste de travail
29 - vaccination pour les français de l'étranger
40 - accident dutravail pendant un jour de travail à distance
L'organisation et le fonctionnement des restaurants d'entreprise aussi été modifié.
La Direction est en attente du nouveau protocole sanitaire du gouvernement. Pour l’instant, les règles et mesures sanitaires mises en place restent inchangées.
Pour les centraux, le travail à distance reste la règle avec toujours la possibilité du retour sur site 1 jour par semaine après validation du manager.
Le dispositif devrait changer le 9 juin mais l’idée n’est pas de prévoir un retour massif sur site, mais un retour pour tous, avec une jauge capacitaire par immeuble pour conserver les règles et gestes barrières garantissant une haute protection contre le Covid. Ce ne sera pas un passage du tout TAD à tout le monde sur site.
Au lundi 11 mai, le taux de présence des centraux parisiens est pour :
- Les 3 tours SG de 12% avec une moyenne à 11%
- Val de Fontenay et les Dunes de 8% avec une moyenne à 7%
- Basaltes 21%
Vaccination centraux parisiens
160 vaccinations de première dose ont été faites pour des salariés de +55 ans.
Le ministère du travail a annoncé le 5 mai que les médecins du travail pourront désormais vacciner avec l’ensemble des vaccins disponibles. Une expérimentation sera lancée dans les prochains jours avec plus d’une vingtaine de services de santé au travail pilotes, notamment de grandes entreprises et de services de santé interentreprises, disposant du matériel nécessaire à la conservation des vaccins Pfizer ou Moderna. La Direction suit le dispositif pour savoir s’il peut être élargit à la SG.
Dans le réseau, taux de connexion pour les personnes équipées :
CDS 45 % pour un objectif de 55 %
CRC 41 % pour un objectif de 62 %
FRONT OFFICE 29 % pour un objectif de 50 %
AEP 61 % pour un objectif de de 58 %.
Cas COVID
Semaine 13 : 82 cas avérés, 129 cas contact, 30 agences fermées.
Semaine 14 : 84 cas avérés, 112 cas contact, 34 agences fermées (7 cas Covid – 30 garde d’enfants)
Semaine 15 : 73 cas avérés, 53 cas contact, 32 agences fermées (8 cas Covid – 24 garde d’enfants)
Semaine 16 : 83 cas avérés, 70 cas contact, 15 agences fermées (5 cas Covid – 10 garde d’enfants)
Semaine 17 : 36 cas avérés, 69 cas contact, 2 agences fermées (2 cas Covid – 0 garde d’enfants)
RAPPEL IMPORTANT : Le respect des règles et gestes barrières reste primordiale.
Les ajustements suites aux annonces du gouvernement du 18 mars impactent principalement le dispositif commercial. Le principe d'activité prioritaire n'a pas évolué depuis le premier confinement.
La Société Générale délivre les attestations employeur nécessaires pour circuler après le couvre-feu.
Au lundi 22 mars le taux de présence des centraux est pour :
- Les 3 tours SG 8% contre 11%
- Val de Fontenay et les Dunes 4% contre 6%
- Basaltes 21% contre 25%
Le reconfinement a eu un impact sur le niveau de présence. La possibilité de revenir sur site 1 jour par semaine aux volontaires en respectant la jauge est maintenue.
Concernant le protocole de restauration, il y a un ajustement très strict avec interdiction de déjeuner ensemble dans les salles de réunion ou open-space. Il faut déjeuner seul à son poste de travail. Les moments dits de convivialité sont qualifiés d'irresponsables par la direction.
La semaine dernière 250 personnes inscrites (dans les centraux) auprès des médecins SG pour la vaccination.
Le couvre-feu est maintenu selon les mêmes règles, mais repoussé à 19h pour l'ensemble du territoire à partir de samedi 20 mars 2021.
D'autres mesures sont détaillées dans le lien https://www.gouvernement.fr/info-coronavirus
Quelles conséquences sur l'organisation du travail dans les départements concernés ? La Direction recevra les organisations syndicales lundi 22 mars à 17h.
Nous vous tiendrons informé dès la fin de la réunion.
Alors que nous sommes toujours dans l'incertitude sur la fin de la pandémie, la Direction reduit seulement quelques dispositifs de l'accord COVID -19 du 18 juin 2020.
- Maintien de la prime de 5.40€ pour les salariés venant sur site et n'ayant pas accès à un RIE (Article 3 de l'accord du 18 juin 2020)
- Maintien de la neutralisation des absences en activité partielle pour les salariés vulnérables, cohabitant avec des personnes vulnérables, gardant des enfants, sous réserve que le dispositif gouvernemental perdure (Article 4.3 de l'accord du 18 juin 2020).
- Le versement des indemnités de transport et de garde sera maintenu sauf si la durée de l'absence est supérieure à un mois.
- Les arrêts liés au COVID (décret du 8 janvier 2021): Pas d'application du délai de carence IJSS tant que le dispositif gouvernemental perdure, et application des règles habituelles relatives aux arrêts maladie (neutralisation des absences pendant 30 jours).
Par contre rien pour les salariés en télétravail exceptionnel lié à la COVID-19. Pas de ticket restaurant pour ceux qui bénéficient habituellement d'un restaurant d'entreprise. Pas de prime d'installation pour ceux du réseaux qui télétravaillent depuis le début de la crise.
Sans accord écrit sur cette nouvelle période, nous ne pouvons pas être certains que de nouvelles conditions n'apparaissent pas au fil du temps.
La CFDT a rappelé que l'accord signé en 2020 pour gérer la crise COVID est arrivé à échéance le 31 janvier. Rien n'est fait à ce jour et pourtant nous sommes toujours en pleine crise.
Des points de l'accord sont-ils à reconduire ? Que faire pour les salariés bénéficiaires d'une restauration collective et qui sont toujours sans aucune indemnité repas ? Que faire pour les salariés de BDDF qui sont régulièrement en télétravail depuis le début de la crise, comme les CAR, et qui ne bénéficieront pas de la prime d'installation sur la paie de février comme les centraux ? Comment mettons nous en place la mesure de prévention santé pour les salariés en télétravail à 100% en leur permettant, sur la base du volontariat, de revenir sur site un jour par semaine ?
La Direction attend les prochaines mesures du gouvernement pour construire des mesures durables. Est-ce réaliste en matière de COVID ?
Pour exemple, le protocole sanitaire du gouvernement change de nouveau et les annonces deviennent hebdomadaires.